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Le DFCO avec Pascal Dupraz et l’accent toulousain

Dijon va-t-il se sauver en Ligue 2 ? Les Bourguignons sont désormais 19ème avec 26 points après 29 journées, soit 7 longueurs de retard sur Pau, premier non-relégable.

Pour réaliser cette mission, le DFCO a décidé de remercier Omar Daf et de faire appel à Pascal Dupraz. Le coach savoyard arrive avec deux adjoints qui sont passés par le TFC comme lui : Baptiste Hamid (préparateur physique) et André Biancarelli (entraîneur des gardiens).

J’arrive avec Stéphane Bernard (entraîneur adjoint) qui est le membre du staff qui a le plus de longévité avec moi. Cela doit faire plus de 20 ans que nous sommes ensemble. Vous ne le verrez jamais en costard, toujours en survêtement sur le pré. Dans une mission comme celle-ci, c’est extrêmement important. Ensuite je viens avec Baptiste Hamid (préparateur physique), que j’ai connu à Toulouse. Il vient des sports de combat. C’est une personne bienveillante et adepte de faire surperformer les joueurs. À ce moment de la saison, ce sera surtout de l’affûtage. Et André Biancarelli (entraîneur des gardiens) que je décris toujours comme une sommité dans son rôle, car il frappe pied gauche et pied droit sans difficulté, il met le ballon où il veut, et j’aime sa manière de faire car ils lavent aussi les têtes. Chaque fois que je le vois avec ses gardiens, il a cette large propension à les considérer comme ses gamins.
Pascal Dupraz

Durant sa conférence de presse, le nouveau coach de Dijon, qui va notamment entraîner Baptiste Reynet et Daniel Congré, a expliqué pourquoi il avait accepté ce challenge : “Le DFCO possède un superbe centre d’entraînement, certainement le plus beau que j’ai connu dans ma modeste carrière d’entraîneur. Ici on passe un cran supérieur. Rien qu’à jeter mon œil sur le centre d’entraînement, je me dis qu’il y a comme un défaut. Voilà les raisons qui m’ont poussées à accepter la proposition du Président. Moi, j’aime les aventures humaines. Parmi les remarques formulées au Président, c’est que dans sa voix, j’ai senti des analogies avec l’ETG. J’ai l’impression qu’ici, la dimension humaine est omniprésente, encore, dans ce grand cirque qu’est le football professionnel. Cela m’enthousiasme beaucoup, car je ne peux pas faire les choses si je ne ressens pas l’humain.

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